Peter Konstantinov Deunov (en bulgare Петър Константинов Дънов, prononciation [pɛtar kɔnstantinɔv dɤnɔv]) (1864-1944) était un maître spirituel qui a fondé la Fraternité Blanche Universelle. Il était appelé Maître Beinsa Douno (bulgare: Беинса Дуно) par ses disciples.
Biographie :
Il naît le 11 juillet 1864 à Nikolaevka (tout près de Varna, Bulgarie). Troisième enfant du pope orthodoxe Constantin Deunovski et de Dobra Georgieva. Son grand-père maternel était Atanas Georgiev (1805-1865), une figure publique active dans la lutte pour l'indépendance de l'Église lors du rétablissement de la nation bulgare aux xviiie et xixe siècles. Son père, Constantin Deunovski (1830-1918) était le premier pasteur et professeur bulgare de Varna.
En 1872, Peter Deunov est admis à l'école élémentaire et il sort diplômé de l’école secondaire de Varna après la libération de la Bulgarie de l’Empire ottoman. Le 24 juin 1886, il termine ses études à l'école américaine de théologie de Svishtov et il enseigne à Hotantsa, près de Roussé, de l'automne 1887 à l'été 1888.
En août 1888, il part pour les Étas-Unis. Il s'inscrit au Séminaire méthodiste théologique de Drew de Madison, au New Jersey, et y complète ses études en mai 1892. Au cours de l'automne 1892, il s'inscrit à l'école de théologie de l'Université de Boston, dans le Massachusetts, où il présente une thèse sur La migration des peuples germaniques et leur christianisation et obtient son diplôme en juin 1893. Il participe comme élève régulier à l'école de médecine de l'université de Boston pendant un an.
En 1895 (à 31 ans), Peter Deunov retourne en Bulgarie, s'établit à Varna et refuse tous les postes qui lui sont offerts comme pasteur méthodiste et théosophique.
En 1896, il publieScience et Éducation, dans lequel il analyse le développement de l'humanité en regard des événements mondiaux dramatiques ; il mentionne l'avènement d'une nouvelle culture, qui prendra sûrement place dans le siècle à venir.
En 1896, il est l'un des fondateurs du Centre culturel et communautaire "P. R. Slaveikov". Il y est nommé bibliothécaire, et dans les années suivantes il prononce les conférences suivantes devant les habitants de Varna : "L'origine de l'homme", "Étude sur les philosophies ancienne et moderne", "Science et philosophie", "Pourquoi et comment nous vivons" et "La base de l'éclaircissement".
En 1897,à 33 ans, Peter Deunov, avec quelques-uns de ses partisans à Varna, fonde une Société pour l'Élévation de l'Esprit Religieux du peuple bulgare, avec les membres suivants : Dr. Georgi Mirkovich, Maria Kazakova, Todor Stoyanov, Penyu Kirov, Anastassia Jelyazkova et Milkon Partomyan. Il publie, la même année, une brochure de textes mystiques intitulée Hio-Eli-Meli-Mesail. Les événements de 1897 le placent au centre de la société spirituelle qui plus tard se développe en une Chaîne Synarchique (1906) et en laFraternité Blanche Universelle (1918). Après 1897, il est fait référence à lui comme Maître Beinsa Douno, nom qui apparait dans les publications littéraires dans les années 1930. L'étymologie du nom Beinsa Douno a des racines en Sanskrit et se traduit par : Celui qui amène le bon à travers les mots.
En 1898, il écrit et donne une conférence, "Appel à mon peuple" (nation), devant la Société de la Charité de la Mère de Varna. Cette conférence est un appel à l'auto-identification sociale et spirituelle. Pendant l'année suivante, il enregistre "Les dix témoignages de Dieu et la promesse divine". À partir de 1899, Beinsa Douno convoque des réunions annuelles à Varna, d'abord nommées Réunions de la Chaîne Synarchique. Dès lors et jusqu'en 1942, la Fraternité Blanche Universelle a tenu ses réunions annuelles du mois d'août en plusieurs lieux : Varna (1899-1909), Veliko Tarnovo (1910-1925), Sofia (1926-1941), et sur les montagnes Rila et Vitosha.
De 1901 à 1912, il voyage en divers lieux de Bulgarie, donne des conférences et fait des interprétations phrénologiques d'individus sélectionnés parmi les gens. Dès 1904, il réside assez longtemps à Sofia, au 66 Opalchenska Str. Il commence à donner ses conférences publiques. La figure historique, cosmique et métaphysique du Christ a une place centrale dans ses conférences. En 1912, dans le village d'Arbanassi (près de Veliko Tarnovo), il travaille sur la Bible et prépare Le testament des rayons de couleur de la lumière qui sort en septembre de la même année. La page titre avait une devise : "Je serai toujours un esclave fidèle au Seigneur Jésus-Christ - le Fils de Dieu, 15 août 1912, Tarnovo".
Le 16 mars 1914, il donne sa première causerie dominicale qui a été prise en sténographie et ayant pour titre : Apercevez l'homme; elle débute la série le pouvoir et la vie. Le maître Beinsa Douno expose les principes généraux de son enseignement qu'il appelle "Le Nouvel Enseignement de la Fraternité Blanche Universelle".
Le 8 février 1917 à Sofia, il commence une série de conférences spéciales pour les femmes mariées qui va durer jusqu'au 30 juin 1932. Pendant la période 1917-1918, au cours de la Première Guerre mondiale, le gouvernement de Vassil Radoslavov l'envoie en exil à Varna sous prétexte que son enseignement affaiblit l'esprit des soldats au front. Il habite l'hôtel de Londres (actuel hôtel Moussala) et correspond avec ses partisans. À la fin de la Première Guerre mondiale en 1918, le nombre de ses partisans dans tout le pays grandit rapidement; vers 1930, on en compte approximativement 40 000.
Le 24 février 1922, il ouvre une école ésotérique à Sofia qu'il appelle "École de la Fraternité Blanche Universelle". Le cours consiste en deux classes d'étudiants. La classe ésotérique générale s'ouvre avec une conférence intitulée : "Les Trois vies", et la classe ésotérique spéciale (pour la jeunesse) avec "Les Deux Chemins". Les conférences ont été données devant les deux classes ésotériques chaque semaine pendant 22 années — jusqu'à décembre 1944.
En 1927, le maître Beinsa Douno implante le village d'Izgrev près de Sofia (aujourd'hui un secteur résidentiel de la ville) où il rassemble son audience, ses partisans et disciples pour avoir un centre où l'école ésotérique peut travailler. Il s'installe en permanence à Izgrev où il partage plusieurs parties de son enseignement. Dès le 19 août 1927, il donne une série de conférences lors de la réunion annuelle de la Fraternité Blanche Universelle, série qui comprend entre autres l'intitulé : La voie d'un disciple.
Entre 1929 et 1932, Maître Beinsa Douno établit le contact avec l'ex-théosophe Jiddu Krishnamurti (dans la ville d'Ommen, aux Pays-Bas) qui vient de quitter à cette époque la Société théosophique, après avoir dissous le 3 août 1929 l'Ordre de l'Étoile d'Orient. Krishnamurti reconnaissait en Deunov le maître mondial Maitreya.
À l'été 1929, il amène ses disciples camper près des Sept Lacs Rila pour la première fois. Le 21 septembre 1930, il ouvre une nouvelle session de son enseignement, appelée "conférence du dimanche matin" et qui a duré jusqu'en avril 1944.
En 1934, il commence à travailler sur la Paneurythmie : une série de vingt-huit exercices qui consistent en mélodies, textes et mouvements plastiques. Plus tard, il ajoute les exercices sur les rayons solaires et le pentagramme.
Le 4 mai 1936, il est sauvagement battu et malmené par un extrémiste politique, ce qui lui cause une hémorragie cérébrale et une paralysie. Malgré cela, à peine rétabli mais encore faible, le maître Beinsa Douno va camper avec ses partisans, le 14 juillet 1936, tout près des Sept Lacs Rila. Le 12 août, il estime avoir récupéré la santé.
Le 22 mars 1939, il écrit un message à ses disciples intitulé Le testament éternel de l'Esprit.
Au début de l'an 1944, lors des attaques aériennes à Sofia, il organise l'évacuation d'Izgrev à Marchaevo (un village non loin de Sofia) pendant qu'il demeure chez un de ses disciples. Il revient à Izgrev le 19 octobre 1944. Le 20 décembre 1944, il donne sa dernière conférence, La dernière parole, à la classe ésotérique générale.
Il décède le 27 décembre 1944. Son corps est enterré à Izgrev.
Peter Konstantinov Deunov était végétarien.
Doctrine idéologique et méthodologique
Plusieurs aspects dans l'enseignement du maître Beinsa Douno sont disposés et développés dans plus de 7 000 conférences, qui ont été données et sténographiées durant la période 1900-1944. Elles ont été publiées dans plusieurs séries de volume: les conférences devant la classe ésotérique générale ou devant la classe ésotérique spéciale, les causeries dominicales, les conférences de la Réunion Annuelles, les conférences matinales, etc.
Les principaux thèmes de son enseignement sont : l'Amour, la Sagesse, la Vérité, la Justice et la Vertu, compris comme attributs du Christ historique, cosmique et mystique.
L'amour est une catégorie centrale du macrocosme et du microcosme, qui fonctionne dans plusieurs aspects de l'existence humaine comme aspiration (dans la sphère émotionnelle ou le cœur), sentiment (dans l'âme), pouvoir (dans la sphère idéale du "je" ou la raison) et principe (dans l'esprit). La Grande Fraternité Universelle est la vision fondamentale cosmogonique. Il est décrit comme un organisme, consistant en âmes humaines avancées (loges du Grand Initié et leurs disciples) et les neuf hiérarchies d'êtres super-sensibles (les Anges, les Archanges, les Principautés, les Vertus, les Puissances, les Dominations, les Trônes, les Chérubins et les Séraphins). D'après le Maître Beinsa Douno, le Christ est le gouverneur suprême de la Grande Fraternité Blanche Universelle.
L'histoire de la culture mondiale est vue comme la projection d'un rythme cosmique, structuré dans des périodes globales et des sous-périodes. Les périodes sont comme suit : Polaire, Hyperboréenne, Lémurienne, Atlantéenne, Cinquième, Sixième et Septième périodes. Les sous-périodes de l'actuelle Cinquième période sont aussi appelées ères culturelles : l'ère du Cancer (Indien Ancien), du Gémeaux (Persan Ancien), du Taureau (Égyptien Ancien), du Bélier (Grèce Ancienne et Rome), du Poisson (Européen De l'ouest), du Verseau (Slave) etc. La conscience humaine se manifeste et se développe à travers des étapes collectives, individuelles, collectives suprêmes et cosmiques.
D'après le Maître Beinsa Douno l'humanité entre dans l'ère du Verseau depuis 1914, c.-à-d. la mise en œuvre de la transition évolutionnaire de la cinquième à la sixième ère culturelle dans la cinquième période. Pendant cette ère, d'après le Maître Beinsa Douno la course Indo-européenne est chef de file dans un aspect évolutionnaire. Les premières étapes dans la conscience collective suprême sont faites pendant l'étape de la transition actuelle. Une de ses formes sociales s'est accomplie à travers les aspects suprêmes de l'amour - la vie pour le Tout. La conscience collective étendue, en rendant effectif la vie pour le Tout, est considérée comme un attribut de la prochaine sixième ère culturelle et de la future sixième race qui provient d'elle. D'après le Maître Beinsa Douno, la sixième race se manifestera dans la future sixième grande ère et rendra effectif la culture de l'amour à une bien plus grande étendue.
L'aspect psychologique du développement humain d'après le Maître Beinsa Douno est une transformation importante à travers quatre archétypes culturels : l'Ancien Testament, le Nouveau Testament, le Vertueux et le Disciple. Cette dernière transition comprend un ensemble de méthodes scolaires ésotériques, qui vise la transformation de la conscience idéale et conceptuelle dans l'imaginaire et est désigné par l'expression : l'épanouissement de l'âme humaine.
D'après le Maître Beinsa Douno les disciples ésotériques lient leur conscience en permanence avec le Christ, l'expérimentent constamment dans leur intellect, leur émotion et leur volonté et apprennent constamment de ce qu'Il accomplit en eux. Donc la conscience du disciple ou son corps éthérique plus spécifiquement, est perçu comme objet et sujet du soi-disant Second avènement du Christ.
Les principales méthodes employées pour le travail spirituel à l'École de la Fraternité Blanche Universelle sont : les prières communes, les exercices musicaux et respiratoires, les lectures de la parole du Maître Peter Deunov, le salut au soleil levant, des sorties dans les montagnes, la vie fraternelle en communauté, des rassemblements annuels, etc. Les méthodes particulières sont : Le « Testament of the Colour Rays of Light » et la danse de la « Paneurhythmy ». Toutes ces méthodes sont regardées comme des pratiques pour une expérience du Christ à travers l'être humain entier, et plus particulièrement le corps éthérique.
Paneurythmie et musique...
La paneurythmie est une suite de danses et de mouvements rythmiques. "La paneurythmie est un échange raisonnable avec les forces de la nature vivante" (Peter Deunov). Il y a 28 mouvements, l'exécution dure 40 minutes.
Peter Deunov a écrit de nombreux chants et diverses compositions. Il jouait remarquablement du violon.
Omraam Mikhaël Aïvanhov
La branche française de la Fraternité Blanche Universelle (F.B.U.), fut instituée par son disciple Omraam Mikhaël Aïvanhov (1900-1986).
Voici ce que raconte Omraam Mikhaël Aïvanhov, qui a connu Peter Deunov à dix-sept ans, en 1917, à Varna, et l'a suivi jusqu'en 1937 : "C'est donc sur la demande du Maître Peter Deunov que je suis venu en France [22 juillet 1937] pour continuer à faire vivre son enseignement. Bien sûr, il ne m'a pas ordonné de partir, un véritable Maître n'exige pas l'obéissance et la soumission de ses disciples. C'est moi qui ai senti que ce qu'il me demandait était pour le bien, et j'ai accepté."
Fraternité blanche universelle
La Fraternité blanche universelle se définit comme une association initiatique, fondée par Peter Deunov en Bulgarie en 1922, dont une nouvelle branche a été initiée en France par un disciple, Omraam Mikhaël Aïvanhov.
Le 24 février 1922, Peter Deunov ouvre une école ésotérique à Sofia en Bulgarie portant le nom de Fraternité Blanche Universelle.
À sa demande, un de ses disciples Omraam Mikhaël Aïvanhov s'établit en France en juillet 1937, où, 10 ans plus tard soit en 1947, il crée la branche française de la Fraternité Blanche Universelle.
Peter Deunov définit ainsi la Fraternité Blanche Universelle :
« L'auguste fraternité blanche universelle n'est pas quelque chose de visible. Elle n'est ni une Église, ni une secte. C'est une entité existant en dehors des conditions corrompues dans lesquelles vit le monde ordinaire. »
L'origine de cette dénomination provient d'une notion développée dans le milieu théosophe par Helena Petrovna Blavatsky, qui déclarait que ses enseignants étaient des Maîtres de Sagesse » ou Mahâtmas résidant au Tibet ou dans le royaume mythique de Shambala et formant une Grande Loge Blanche, une Grande Fraternité Blanche des Mahâtmas.
Mouvement ésotérique, l'association « Fraternité Blanche Universelle » est décrite dans le rapport de la Commission parlementaire sur les sectes en France (1995) comme « un mouvement spirituel initiatique proposant un ésotérisme syncrétique, fondée sur l'identification avec les forces Christique et solaire, les lois du karma et la galvanoplastie spirituelle ».
Toujours selon ce rapport, elle compterait 500 à 2000 membres. La fraternité blanche universelle est reconnue comme secte dangereuse par le rapport parlementaire de 1996.
Diffusion...
Cette organisation est présente en Allemagne, Angleterre, Argentine, Autriche, Belgique, Bulgarie, Canada, Colombie, États-Unis, Espagne, France, Haïti, Irlande, Israël, Italie, Pays-Bas, Russie, Suisse, cote d'ivoire et Roumanie.
La Fraternité Blanche Universelle se veut un enseignement basé sur le développement de l'Homme; plus particulièrement sur les rapports qu'il entretient avec lui-même, les autres et les forces vivantes de l'univers. C'est un enseignement qui est également orienté vers un objectif de développement social et planétaire.
De nombreux ouvrages ont été édités en plusieurs langues, à travers le monde, par les éditions Prosveta.
Appendice : Moi et la Fraternité Blanche
Pour ma part, j’ai eu la chance de rencontrer et de côtoyer le maître Omraam Mikhaël Aïvanhov, et cela fut pour moi un événement d’ampleur dans ma vie... J’ai participé à la réalisation des « Chants mystiques bulgares », de Peter Deunov.
J’ai été d’autant plus honoré et transformé par cette rencontre parce qu’un jour il m’a annoncé que j’aurais une importante mission à remplir au cours de mon existence et que cela concernerait les domaines de l’ésotérisme...
Étant plutôt sceptique, je me suis dit qu’il cherchait à m’embobiner... Mais il me prit à part et m’emmena avec lui à l’écart en me disant qu’il allait m’offrir un cadeau qui m’aiderait dans ma mission... Il alla dans sa loge, m’invita à me joindre à lui et devant moi ouvrit un petit coffret à bijoux, qui contenait deux bagues, et une énorme pierre précieuse rouge étincelantes (certainement un rubis). Il prit une bague et me la tendit en me disant « tiens, si tu veux, elle est à toi... Elle a appartenue à mon maître Peter Deunov, il m’a confié ces quelques bijoux avant mon départ... j’attendais de rencontrer la personne qui en aurait besoin... Il se mit à rire... et il ajouta tiens prends-la, elle t’aidera dans ta mission... »
À cette époque, je n’étais pas en mesure de me voir jouer ce rôle, mais j’étais tout de même impressionné d’avoir eu ce commentaire de la part du maître... Aussi, je me disais qu’il m’avait offert ce présent afin de me convaincre de rejoindre la Fraternité.
Plus tard, alors que je travaillais pour la société d’histoire, et que je fis des recherches sur le catharisme, j’ai renoué avec l’esprit bogomile, et ce fut le début d’une sorte de conversion, non pas dans une voie mystique mais certainement à un intérêt grandissant au sujet du manichéisme, du gnosticisme chrétien et de l’histoire des templiers...
Je n’ai jamais rejoint le groupe de la Fraternité Blanche Universelle, car j’y reconnais tous les aspects d’une secte, ce qui est malheureux... mais on y donne des enseignements sages et fondés. (On y retrouve tout de même une authentique origine bogomile et de fortes tendances au catharisme). De mon côté, donc, j’ai préféré poursuivre ma route en solitaire, en marge de tout groupements, mais il n’en reste pas moins que ce que m’a dit jadis le maître Aïvanhov me revient comme en échos, me rappelant qu’il avait vu juste : j’ai une mission... Et, je suis dorénavant en mesure de savoir exactement qu’elle est ma mission, entre autre : « faire la lumière sur les zones obscures ».
BIBLIOGRAPHIE
Livres :
"L'enseignement du Maître Deunov" a été donné sous formes de conférences, sténographiées par ses disciples dès 1921.
- « Le Maître parle », Courrier du livre, 1964, 129 p. : "La Vie, l'Âme, la Vérité, l'Amour..."
- « La Vie pour le Tout », Courrier du livre, 3° éd. 1989
- « Dans le Royaume de la Nature vivante », Courrier du livre, 1989
- « Au cœur de la santé », Books on Demand, 2008
- « L'amour universel, source de vie » (1942), Courrier du livre, 1964, 175 p.
- « La Loi suprême (1925) », Courrier du livre, 1990
- « L'enseignement de vie nouvelle », Courrier du livre, t. I 1983, t. II 1991.
- - « Le livre des anges », Ultima, 2007
- « Le livre de l'éveil. L'entrée de la conscience dans les mondes supérieurs », Ultima, 2006, 268 p.
- « Paneurythmie », Éditions Amour et Vie, 1954
- « Propos sur l'avenir » (1944) Prophétie.
Musique :
- « Chants de la F.B.U. », Fréjus, Prosveta, 2007
- « Chants mystiques bulgares » (1923-1924), Fréjus, Prosveta, 1997 (disque compact)
- « Paneurythmie ». Version orchestrée, Fréjus, Prosveta, 2002.
Études sur Peter Deunov :
- Omraam Mikhaël Aïvanhov, « Hommage au Maître Peter Deunov », Fréjus, éditions Prosveta, 1991
- M. Konstantinov, etc., « Le Maître Deunov », Omnium littéraire, 1959.
- « L'enseignement de Maître Deunov ». Présentation, témoignages, textes et entretiens, Courrier du livre, 1990
- Frida Theodosy, « L'art du chant divin : méthode de développement spirituel et d'union cosmique suivant l'enseignement des maîtres Peter Deunov et O. M. Aïvanhov », Hérouville-Saint-Clair, Éd. Télesma, 1990
"Les frères de l'Humanité"...
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